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Pour une généralisation des résultats aux 800 candidats aux épreuves physiques, la règle 0.05 x 800 (5%) a permis de déterminer l’échantillon (40 sujets). Cependant, 51 candidats âgés de 17 à 24 ans, dont 43 garçons et 8 filles ont participé à cette étude qui cherchait à analyser la perception des candidats sur la difficulté des épreuves et recueillir l’avis des administrateurs sur leur pertinence. L’approche mixte utilisée et les données extraites (IBM SPSS STATISTCS) ont permis une validité de 0,64. L’étude montre la nécessité des tests mais relativise l’exigence d’aptitude de haut niveau. Elle a également montré l’importance de redéfinir les modalités d’administration des concours, et la nécessité de savoir la perception des candidats sur la difficulté des épreuves d’où l’intérêt d’entreprendre des adaptations. 90% des candidats ignore les modalités des tets (barèmes, déroulement) et 21% affirme de projeter un échec avant l’entame des épreuves. 72% des candidats perçoivent le Luc Léger comme le plus difficile et les sports collectifs comme le plus facile (48,8%). 75% des administrateurs des tests percevrait le Luc Léger comme inappropriée et envisagerait une révision pour s’aligner aux objectifs pédagogiques. Selon eux, les barèmes importés ne seraient point adaptés à l’écosystème éducatif africain. Mots clés : Barèmes. Education Physique Épreuves physiques Évaluation.